La cotation
Le niveau en escalade est déterminé par une échelle de difficulté appelée « la cotation ».
La première échelle de cotation a vu le jour en 1925 grâce à l’alpiniste allemand Willo Welzenbach (1900-1934). Elle ne comportait alors que six degrés (F, PD, AD, D, TD et ED).
Différents principes de cotations existent en fonction de l’activité, à savoir en escalade libre, en blocs, en escalade artificielle, en escalade glacière et en escalade mixte.
Une norme, U.I.A.A. (Union Internationale des Associations d’Alpinisme) définit une échelle de cotation en libre qui est en principe la référence, néanmoins plusieurs pays utilisent leur propre système.
Les cotations en France en escalade libre débutent généralement à partir du 2 et s’arrêtent au 9b+ pour le moment.
A chaque degré s’ajoutent trois subdivisions notées « a », « b » et « c ».
A cela s’ajoutent ensuite des degrés intermédiaires notés « + »
Vous pouvez donc rencontrer des voies cotées par exemple 5c, 6a, 6a+, 7a+…